LE SCHÉMA AVEC LA SOLUTION DU DECODEUR D'ACCESSOIRE

page1 - page2 - page3 - page4 - page5 - page6 - page7 - page8 - page9

 

 

Le remplacement de la commande manuelle Fleischmann par la commande numérique répond au schéma de principe suivant :

Principe de commande

 

La commande manuelle a donc été supprimée et remplacée par les contacts de relais électromagnétiques bistables (à deux enroulements chacun) déclenchés par une commande de windigipet à travers un module Lenz LS150.

Notice des relais bistables Roco 10019 Jpeg (210 Ko)

 

Le schéma devient le suivant (la partie mobile de la plaque restant inchangée, elle n'est pas représentée sur ce schéma et seule la sortie 2 du LS 150 est représentée câblée pour ne pas alourdir le schéma, chaque relais se câble bien entendu de la même manière sur les autres sorties du LS 150) :

Modification

- La voie du pont est alimentée comme n'importe quelle autre section de voie, via une entrée d'un module de rétrosignalisation. Ainsi, la présence d'une loco sur le pont est connue et windigipet affiche à l'écran le n° de la loco. Un relais inverseur de polarité (relais 3) est interposé entre le module de rétrosignalisation et la voie, car les voies disposées autour du pont ont une polarité fixe, alors que le pont peut tourner de 180° et ainsi présenter sa voie avec le - en face du +.

 

- La commande du moteur et de la bobine réclamant du courant continu, j'ai inséré un module basique de redressement composé d'une diode (type 1N 4007) et d'un condensateur chimique (470 microF, 25 V). On voit que, sur cette partie du schéma, le moteur est toujours alimenté (fil jaune). Lorque l'on commande le relais 1, la bobine est commandée et avec elle le contact du fil bleu (voir le schéma de la page précédente). La rotation a donc lieu.

 

- Le relais 2 est là pour inverser le sens de rotation du pont, par l'inversion de la polarité sur le moteur.

 

- La commande des relais s'effectue à travers le module de commande d'accessoires Lenz LS150 sur lequel 3 des 6 sorties sont donc utilisées pour la commande du pont. Windigipet (ou l'intellibox), grâce aux 3 adresses numériques de ces sorties (55, 56 et 57) peuvent commander ces relais.

 

 

Les dernières transformations (en enlevant la partie mobile de la plaque) :

 

Rails plaque

- Dans la logique Fleischmann, la plaque alimente elle même, par des petites lames souples de contact (1 à chaque extrémité des rails de la plaque, en bleu sur le schéma), les voies qu'elle déssert, ce qui simplifie l'alimentation électrique en dispensant d'alimenter les voies autour de la plaque. Mais ce principe ne m'intéressait pas car je voulais connaître l'occupation des voies désservies par la plaque (rétrosignalisation sur chaque voie), et pouvoir alimenter individuellement chacune de ces voies. J'ai donc éliminé ces quatre lames de contact et ainsi isolé les voies de la plaque avec les voies désservies.

 

- Sur chaque rail de la plaque, Fleischmann a isolé une extrémité du rail (environ 2 cm) pour des problèmes de polarité. J'ai supprimé le micro relais qui assure les contacts et réalisé une continuité électrique permanente d'un bout à l'autre de chaque rail.

 

 

Retour page précédente __________ Page suivante